La douleur, les médecins, le charlatanisme


 

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La détresse paie bien. Arnaques sur des groupes FB d'aides aux victimes du va%xi&

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La détresse est une mine d'or !! Attention, sur certains groupes de malades ou de leurs  soutiens à l'infiltration de vendeurs profitant de leur souffrance pour fourguer leur came avec des pages et des pages de promesses mirobolantes, svt soutenus par des gens en toute bonne foi qui ne se sont pas renseignés assez sur le ou les commentateur/trices (qui dixit "a tout essayé" .. ou c'est son père, sa sœur.. ) et au site vendeur qu'ils ou elles pilotent*. Il n'y a pas que Bigpharma qui profite de la détresse des gens pour les plumer ! * référence bidon de tel ponte médecin.. introuvable8, qui ss dte n'existe pas etc..    Sur des groupes de malades ou de soutien à ceux ci, parfaitement honnêtes par ailleurs, formés de déçus ou rescapés de la médecine, grenouillent cependant aussi des escrocs profitant de leur détresse prêts à tout pour sortir ou aider des proches à sortir du trou quel que soit le prix. Le malheur est commercialement rentable !  Voici l...
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Le passé. Les hauts de hurlevent deux versions

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  Familles.. "Les hauts de Hurlevent" (Emily Bronte) ou "la Garden party" (Katerine Mansfield) version Cévennes ; une haine en triple ricochet qui s'écrasa sur des innocent.es... trois générations après. 1937. Deux beautés villageoises, ms d'allure opposées : ~25 ans, mettons Gina Lolobrigida et Jody Foster. Et la haine, non, la jalousie de l'une (Gina) qui avait travaillé dès 13 ans, fût- ce ds le restau très prospère de sa mère, veuve de la guerre de 14, envers Jody plus chanceuse, devenue instit. La guerre. L'occupation. Jody s'engagea, fit des faux pap etc... Gina, non. (Un commerce ce n'est pas simple, on ne peut refuser un client bla bla bla bla) ....  certes ! Ms il y a des manières de le recevoir. Et  une amitié funeste avec une cliente et voisine admirée, (élégance, allure, entregent, réussite professionnelle) ... une femme rêvée parfaite ms juste un détail clochait. Elle était là maîtresse d'un officier allemand.. Aïe.. les amis...
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Cucuteries sans nom voir suite

 — Papa, s'il te plaît… ne viens pas à l'école aujourd'hui, d'accord ? — Pourquoi, Madeleine ? Tu ne veux pas que je te voie recevoir ton prix ? — Non, papa. Mes camarades viendront, leurs parents… et toi… — Moi, quoi ? — Tu es tout poussiéreux, papa. Tu es encore venu directement du chantier. L'homme resta immobile. Il tenait dans sa main une fleur fanée, cueillie au bord du chemin. — C'est vrai, — dit-il doucement. — Je suis venu directement car je n'avais pas le temps de me changer. Je ne voulais pas être en retard. — Peu importe, papa ! J'ai dit que je ne voulais pas ! — cria-t-elle. — Tout le monde va se moquer de moi ! Le père hocha la tête sans dire un mot. — Très bien, Madeleine. Je ne viendrai pas. Puis il se retourna lentement, la fleur à la main. Madeleine a grandi dans une petite maison en torchis. Sa mère l'avait quittée lorsqu'elle avait cinq ans. Son père — Georges — travaillait dur, par tous les temps, juste pour lui acheter des l...
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