Le passé. Les hauts de hurlevent deux versions

 


Familles.. "Les hauts de Hurlevent" (Emily Bronte) ou "la Garden party" (Katerine Mansfield) version Cévennes ; une haine en triple ricochet qui s'écrasa sur des innocent.es... trois générations après.


1937. Deux beautés villageoises, ms d'allure opposées : ~25 ans, mettons Gina Lolobrigida et Jody Foster. Et la haine, non, la jalousie de l'une (Gina) qui avait travaillé dès 13 ans, fût- ce ds le restau très prospère de sa mère, veuve de la guerre de 14, envers Jody plus chanceuse, devenue instit.

La guerre. L'occupation. Jody s'engagea, fit des faux pap etc... Gina, non. (Un commerce ce n'est pas simple, on ne peut refuser un client bla bla bla bla) ....  certes ! Ms il y a des manières de le recevoir. Et  une amitié funeste avec une cliente et voisine admirée, (élégance, allure, entregent, réussite professionnelle) ... une femme rêvée parfaite ms juste un détail clochait. Elle était là maîtresse d'un officier allemand.. Aïe.. les amis de mes amis sont mes amis ? .. pas toujours peut-être mais.. re aïe..

A la libération, Gina épousa Laurent, le jeune frère de Jody, ex maquisard tireur d'élite (décoré et gradé au feu) qui pour elle, en qques jours, rompit avec sa fiancée, résistante et amie de Jody. D'où la surprise et la colère de celle-ci, dont le fiancé était mort sous la torture, qui adressa UNE réflexion à son jeune frère, une seule ! jamais plus. * mais qui 80 ans après fit des ravages accentués... peut être jusqu'à la mort, contre des innocents.es.

Mais restons en là pour l'instant. La vie coula, simple, en apparence et même "tourna" lentement dans le bon sens. On oublia ? Pas tous, les amitiés funestes ? Peut-être. Mais, paradoxe, l'argent, lui, demeura. On vit ainsi des ex collaborateurs officiels enrichis, qques années après, retourner, glorieux  certes avec qques contorsions acrobatiques peut-être sonnantes ? au bled voire se faire élire maires ou au conseil municipal, tandis que par contre des enfants de résistants, morts ou abîmés, se trouvaient parfois ds la misère. L'oubli. La vie tourna..  A l'envers, du moins pour certain.es. peut-être pas pour tous. Pas pour Jody, la sultane de la famille. Traumatisée à vie.

Gina se montra ptt une épouse exemplaire, (comme pour se racheter de son passé) et une belle-fille aimante et attentionnée, rassurant même aimer Marguerite plus que sa propre mère,  qui l'avait sacrifiée à ses frères lesquels, diplômés, eurent des métiers indépendants. Pas elle, rivée au restau que certes elle aimait (ms le travail était éreintant)  pour toute sa vie..

La vie donc coula.  Vie de famille, les Noëls et Jours de l'an chez les uns et les autres, une cordialité sans défaut..  En apparence. Deux enfants naquirent en tout et pour tout, Lena, fille -unique- de Jodie, (remariée avec Jean Baptiste, intello dijonnais revenu des stalags assez abîmé) et Christophe, un fils également unique, de Gina et Laurent. 

Ms les deux couples eurent des vies foncièrement à l'opposé, Laurent et Gina, riches, Jody et Jean-Ba,  très pauvres, ses diplômes ayant été interrompus héroïquement par un engagement volontaire ds l'armée par anti nazisme. Une précision : c'est Jody et plus tard Lena sa fille qui s'occupèrent de Marguerite vieillissante et de sa sœur Josée, celibataire, légèrement handicapée, avec laquelle, veuve, elle vivait, (Laurent et Gina étant trop accaparés.. par leur entreprise qui tournait à bloc ainsi qu'à gérer leur argent.... (cet argent qui semblait encombrer Laurent, militant communiste révéré.)

Si bien que, devant le déséquilibre financier de ses enfants, au moment de répartir l'héritage, Marguerite se trouva face à un dilemme.. Tenta-elle de le pallier ? Peut être. Préférait-elle Jody, la fille qui avait réussi des études, ( l'école normale) fussent-elles modestes ? Et qui l'avait aidée ds son "Drugstore avant l'heure", une idée géniale de cette precurseure qui avait tiré la famille de la misère, le salaire de son gendarme de mari, fût- il augmenté par les "colonies" (puis sa retraite seulement) étant minimes. La favorisa-t-elle ? Pas sûr. Peut-être.. 

Avec l'accord de TOUS, en apparence, la propriété (et les biens) fut divisée en deux parties inégales, la belle mais inconfortable maison échéant à Jody, la pauvre. Il y eut une soûlte certes...  ms fut-elle suffisante ? Peut-être, peut-être pas. En apparence tout le monde était d'accord. Satisfait. Ami. EN APPARENCE. Nous allons voir que ce n'était vrai QUE D'UN SEUL CÔTÉ.

A cela s'ajoutait que Christophe qui ne réussissait pas à l'école, désespérait ses parents, riches ! qui le voyaient ministre ou à la rigueur prof de médecine ... tandis que Lena, si, bien qu'au contraire ses parents lui refusassent d'étudier (malgré leur situation devenue plus que prospère grâce à une entreprise créée par Jean-Ba, notons le, avec au départ l'aide financière de Marguerite, remboursée tout de suite.) Le couple, assez peu investi ds la parentalité, (la pauvreté du départ et les traumatisme ayant pesé lourd) désirait se débarrasser au plus vite de Léna et/ou la réduire "au plus petit dénominateur commun", inerte de toute réelle culture intellectuelle, un fatum banal pour les enfants pauvres mais une absurdité cruelle en décalage incompréhensible ici, le drame de sa vie si elle s'était soumise au diktat, (mais elle parvint en partie à se glisser entre les mailles au risque de se perdre et en un sens se perdit aussi car même survivant à l'anéantissent où elle était projetée au lancer, d'autres requins l'attendaient dehors, la règle psy anti mathématiques qui pose que moins plus moins égale plus devenue moins plus moins égale MOINS PUISSANCE N. Un enfant plus ou moins désinvesti le sera svt ensuite ds sa vie amicale et amoureuse en pire.

Revenons à la "famille". Rien ne fut jamais dit.. une famille où tout baignait.. 

Mais à la mort (imprévue) de Jody...  Gina, Christophe et sa femme Nadia, ambitieuse naïve ms redoutable, issue d'un effroyable lumpen prolétariat incestueux..  Nadia que Gina avait peut-être brieffée contre les "profiteurs" de l'héritage sis juste à coté (stt contre Jody, la sultane qu'elle appelait toujours "la tante" quand celle-ci au contraire la désignait par son surnom affectueux) bref, à la mort de la sultane, Gina, Christophe et Nadia organisèrent une fête bruyante (c'était l'anniversaire de leur fille Marie- Chantal) dans leur jardin jouxtant la propriété de Léna et de Jean- Ba, veuf de quelques jours ! ... si bien que, pleurant sur l'urne de sa mère encore chaude, Léna ne perdit rien du vacarme, derrière une haie qui ne séparait rien, émis par des bouchons de champagne éclatant, les applaudissements de joyeux convives un peu éméchés, sur fond de tchin, bruit de verres, vaisselle, et éclats de rire de collatéraux analphabètes (côté Nadia) ignorants ou peu soucieux du drame advenu derrière ces bruyantes agapes. "La garden party" version Cevennes... 

Par la suite, là on est en 2000, à la 3 ième génération, Marie- Chantal, (20 ans ?) à son tour brieffée en double ricochet (!) par Gina ou directement par sa mère Nadia, mais cette fois contre Lena (Jody étant morte, sa fille, fragilisée par une séparation de son mari s'ajoutant au traumatisme de la mort de sa mère... ) était là pour encaisser à sa place les coups que l'on n'avait jamais osé lui porter autrefois... Marie Chantal donc envahit sa propriété en compagnie de Christophe et de Nadia. insultes à la clef. Elle dut faire intervenir les gendarmes pour qu'ils partent. 

Christophe ensuite fut blessé de griffures profondes sur les bras que, bouleversé, il ne pensa pas à cacher. Nadia ? enragée d'avoir dû quitter les lieux - et sevrée depuis peu du mediator pris des années pour perdre du poids, ce dont elle mourut-. ? sans doute. Sa cruauté sans objet, qu'elle avait hélas transmise à sa fille, se fit jour en d'autres circonstances, par exemple lorsqu'elle dénonça au patron le type même (pdg) qui l'avait, à sa demande recrutée ds la boîte, pour des " libertés" qu'il prenait sur les stocks (ds l'espoir -inabouti-  de prendre sa plac) de sorte qu'il fût aussitôt renvoyé, réduit à la gêne financière à laquelle il n'était pas habitué.. ce qui la réjouit ouvertement ainsi que sa fille. 

Familles je vous hais. 

* Laurent, qui, devant la stupéfaction de Jody lorsqu'il lui annonça son futur mariage, (n'oublions pas que les corps des martyrs dont celui de son fiancé venaient d'être découverts ds un charnier) insistant lourdement "mais enfin que lui reproches tu à Gina?" s'attira un cinglant "TU LE SAIS TRÈS BIEN ALORS S'IL TE PLAÎT AU MOINS TAIS TOI"! Une réplique de Jody qui, même inconnue, nourrit la haine de Gina qui couva 70 ans sans jamais s'exprimer sauf à sa mort. Familles.. "Les hauts de Hurlevent" ou "la Garden party" version Cévennes ; une haine en triple ricochet. . 


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Version épurée ad delphinium pour Marianne 


1937. Deux beautés villageoises, d'allure opposées ~25 ans,

 Mettons Gina Lolobrigida et Jody Foster. Et la haine, non, la jalousie de l'une (Gina) qui avait travaillé dès 13 ans, fût- ce ds le restau très prospère de sa mère, veuve de la guerre de 14, envers Jody plus chanceuse, qui avait étudié, enfin jusqu'au bac, devenue instit.

La guerre. L'occupation. Jody s'engagea, modestement disait elle, Gina, non. (Un commerce ce n'est pas simple bla bla bla bla )

A la libération, Gina épousa Laurent, le jeune frère de Jody, ex maquisard tireur d'élite décoré, qui pour elle quitta Renée, sa fiancée, résistante, et amie de Jody. D'où la surprise et l'agacement de celle-ci, dont le fiancé était mort sous la torture, qui adressa UNE réflexion à son frère, une seule ! jamais plus. * mais une réflexion qui 80 ans après fit des ravages accentués... peut être jusqu'à la mort contre des innocents.es

Mais restons en là pour l'instant. La vie coula, simple, en apparence et "tourna" lentement. A l'envers, du moins pour certain.es. peut-être pas pour Jody, la sultane de la famille. Gina, elle, se montra une épouse exemplaire, (comme pour se racheter de son faible engagement ds le passé) une belle fille attentionnée, prétendant même aimer Marguerite, sa belle-mère, plus que sa propre mère qui l'avait sacrifiée, l'obligeant à quitter l'école à 13 ans quand ses frères y demeurèrent et obtinrent ainsi des métiers indépendants. 

La vie coula.  Vie de famille, les Noëls et Jours de l'an chez les uns et les autres, une cordialité sans défaut..  En apparence. Deux enfants naquirent, Lena, une fille -unique- de Jodie, (remariée avec Jean Baptiste, intello dijonnais revenu des camps - stalags- assez abîmé) et Christophe, un fils, également unique, de Gina et Laurent. 

Ms les deux couples eurent des vies financierement à l'opposé, Laurent et Gina, riches, Jody et Jean-Ba, (ses diplômes ayant été interrompus héroïquement par un engagement volontaire ds l'armée par anti nazisme) très pauvres. Une précision : c'est Jody et plus tard Lena sa fille qui s'occupèrent de Marguerite vieillissante et de sa sœur Josée, celibataire, légèrement handicapée, avec laquelle, veuve, elle vivait depuis, (Laurent et Gina étant trop accaparés.. par leur entreprise qui tournait à bloc ainsi qu'à gérer leur argent.)

Si bien que, au moment de répartir l'héritage, Marguerite se trouva face au déséquilibre financier de ses enfants.. Tenta-elle de le pallier ? Peut être. Favorisa t elle Jody ? Pas sur. Peut-être.. La propriété (et les biens) avec l'accord de TOUS, en apparence ! fut divisée en deux parties inégales, la belle mais inconfortable maison échéant à Jody. Il y eut un soulte certes...  ms fut elle suffisante ? Peut-être, peut-être pas. En apparence tout le monde était d'accord. Satisfait. En apparence.

A cela s'ajoutait que Christophe qui ne réussissait pas à l'école désespérait ses parents, riches ! qui le voyaient ministre ou à la rigueur prof de médecine ... tandis que Lena, si, bien qu'au contraire ses parents  refusassent qu'elle étudie (malgré leur situation financière à ce moment totalement améliorée.) Une absurdité cruelle incompréhensible, le drame de sa vie si elle avait cédé (mais elle parvint à se glisser entre les mailles au risque de se perdre et en un sensse perdit aussi.)

Rien ne fut jamais dit.. une famille où tout baigne.. FAUX. À la mort (imprévue) de Jody...  Gina et Christophe (entre temps marié à Nadia, que Gina avait peut-être brieffée contre les "profiteurs" de l'héritage sis juste à coté et stt la cheffe, la sultane, Jody qu'elle appelait "la tante" (quand celle-ci au contraire la désignait toujours par son surnom affectueux) à la mort de la sultane donc, Gina, Christophe et Nadia organisèrent une fête bruyante dans leur jardin jouxtant celui de Léna et de Jean Ba son père, (veuf de la veille !) ... si bien que pleurant sur l'urne de sa mère encore chaude, Léna ne perdit rien du bruit des bouchons de champagne éclatant juste à coté sous les joyeux applaudissements de convived le tout sur fond de tchin tchin, de bruit de verres, vaisselle, et éclats de rire .. de convives un peu pompettes inconscients (?) du drame advenu juste derrière la basse haie de séparation, de ces agapes. La garden party version Cevennes... 

Par la suite, là on est en 2000 ! Marie Chantal, (20 ans ?) la fille de Christophe et de Nadia, à son tour brieffée en double ricochet (!) par Gina, mais contre Lena cette fois, (la sultane - Jody- étant morte, sa fille était là pour morfler à sa place), Marie Chantal donc envahit sa propriété en compagnie de Christophe.. insultes à la clef. Et elle dut faire intervenir les gendarmes pour qu'ils partent. Christophe ensuite fut blessé ensuite de griffures profondes sur les bras qu'il ne put cacher. (Nadia se dte, enragée d'avoir dû quitter les lieux)

Familles je vous hais. 

* Laurent, devant la tête que faisait Jody lorsqu'il lui annonça son futur mariage, (n'oublions pas que les corps des martyrs dont celui de son fiancé venaient d'être découverts) insista lourdement "mais enfin que lui reproches tu à Gina ?" celle ci lui lança sec "TU LE SAIS TRÈS BIEN ALORS S'IL TE PLAÎT AU MOINS TAIS TOI"!

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