Mort à Venise, LE SYNDROME DD ou VOYONS HELENE
Qu'en pensez vous, ami.es ? Marie, Marie, Marie-Béatrix, Marie Ange, Julie, Christelle, Rose.? Je n'ai jamais vu le film, volontairement, avec acharnement (!) alors que des potes voisins de piaule en cité U, futurs énarques pour la plupart, homos sans complexes (courageux et rare à l'époque, 70, surtout compte tenu de leurs futures carrières genre ministres) s'en délectaient (!) avec passion : cela me semblait carrément une éloge de la pédocrimilalite (pu pire, un défouloir pour les coincés kinosépas) devenue acceptable voire laudatée par le biais de "l'art", la pédocrimilalite chic mode élégant, CUL ture, musique classique, danse, voyages, Grèce, mer, monuments, philo et poésie.. tout le toutim. J'étais, malgré notre amitié qui perdura (puis cessa) mal à l'aise de leur engouement. Parano, Hélène ?
"Voyons Helene" mode DD ? Mmmm. L'un, (non enarque, le seul) a été par la suite l'objet de poursuite pour ... [...] passons.
"VOYONS HELENE", un concept particulièrement délétère qui me fut révélé (cad exercé contre moi par une certaine DD, amie d'amie, de façon super malaisante imparable).
Didascalies, (DD donc, petite femme toujours aimable, apprêtée, appréciée, mais sans aucune instruction, la flemme semble-t-il, son père immigré comptant sur sa beauté pour qu'elle s'en sorte au mieux "sans s'user les yeux sur des bouquins", DD, bourge ensuite en effet par mariage, plus ou moins convenu, ça existe même chez les fils et filles de mineurs -de charbon- ; moi).
Contexte. Ayant malgré moi été témoin d'une scène ultra violente entre une femme, F. (ex amie pour moi, et amie de toujours de DD) envers sa mère, très âgée, hurlements, démarrage en force de voiture etc (notons que j'avais moi-même été aux prises avec F. sur le même mode : hurlements sans aucune raison.. limite délire, elle avait surgi chez moi comme une furie, sa violence fût telle que je pûs craindre un instant qu'elle en vînt aux mains -c'est une baraque- mais moi, bien que frêle, j'ai son âge, je suis sportive donc pas pb, je me suis contenté de lui intimer sec l'ordre de dégager, sans M'ÉNERVER outre mesure, mais ferme, montrant que je n'avais pas peur. Explication : la drogue ou plus exactement le sevrage d'icelle, en attestait son grossissement inédit soudain d'allure masculine alors qu'elle faisait plutôt chochotte ultra feminine auparavant. Bref revoyant celle-ci en crise mais cette fois aux prises avec une vieille femme quasi centenaire pouvant à peine marcher (qui s'était avancée péniblement vers moi comme pour se protéger, inquiète me dit elle que F ne se suicide comme elle lui avait dit qu'elleallaitle faire) ... j'attendis du coup son retour moins rapide...
Ensuite, cas de conscience, comment réagir, en plus je comptais partir du bled. Pouvais je laisser ainsi Madame R aux prises avec une furie par moment incontrôlable (l'endroit est isolé, je suis la seule voisine). J'ai tenté le jeune curé africain, qui me sembla fragile et peu emballé..
Jusqu'à ce que je rencontre DD au hasard d'une course en "ville". Je lui rapportai la scène, édulcorée fortement. ET LÀ !!!
Réaction : menton relevé haut, tête en mouvement de négation répété indigné, sourire mais en forme de moue dubitative, ton accusé, trop fortement articulé mais faussement amical, en réalité condescendant sans appel voire méprisant : les prémisses obligées des luttes "à front inversé" au cours desquelles c'est la victime (ou ici l'alerteuse contre un.e VICTIMEURE pour défendre sa victime) qui se voit tancée, accusée en sous main de mentir, peut-être implicitement de malveillance ... et doit se défendre.
Exemple Sarko, multirécidiviste, qui s'indigne de la haine des magistrats contre lui, dont innocent comme l'enfant il est l'objet.
Candidement j'ai insisté et ainsi me suis fourvoyée, n'ayant pas saisi le sens de ce syndrome, cad la mauvaise foi, la feinte naïveté malveillante qui permet aux hypocrites de ne pas s'engager devant une injustice flagrante, sans pour autant faillir ensuite aucazou celle ci serait révélée, la bouée de ceux qui disent "on n'a pas su", "on ne pouvait pas prévoir".. "mais qui pouvait deviner?"
Cela vaut pour les camps nazis et se préfigure en prémisses au raz du sol par une DD qui me torture de malveillance (VOYOOOONS HELENE !! M'ENFIN!!! QUAAAND MÊÊME !! Tuvapadireke!!" faisant mine d'incrédulité pour ne pas s'engager. ("Et puis tu sais, F., je ne la vois pas bcp! Presque pas !")
Finie l'affaire ? Pas du tout !!! DD alors (dite ici "allonhelene" ou "AH") se mit en quête .. de son amie : depuis on les voit faire de longues balades en montagne, et F semble aller bien. Donc depuis toujours elle SAVAIT. Sa suspicion n'était que pose jouée pour se défausser aucazou. Le "AH" se met toujours du côté du plus fort c'est plus prudent DONC DU MALFAISANT contre le militant alerteur DEVENU COUPABLE et feint tjrs de croire la victimeuse, la bourrelle, contre la victime ou l'alerteuse. C'est ainsi que, DEVANT DE "BRAVES GENS" INSOUPÇONNÉS, si aimables dit-on, des enfants, des f, des vieux, des hors circuit, juifs, arabes.. .. sont battus à mort, ds l'indifférence généralisée.
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