La crise crie
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Réponse sur l'accouchement
" À une époque où accoucher était presque une condamnation à mort, elle (Angélique du Coudray) a choisi de changer le destin de milliers de femmes avec une aiguille, du tissu et du savoir. Angélique Marguerite Le Boursier du Coudray est née en France en 1712. Elle est une femme dans un siècle qui ne laisse pas de place aux femmes. La médecine est l'apanage des hommes et l'accouchement est un événement dangereux, souvent laissé à l'improvisation ou à l'aide de personnes sans formation. Les mères mouraient. Les bébés mouraient. Et personne ne semblait s'en préoccuper. Mais Angélique, sage-femme de grande expérience et d'une rare lucidité, ne reste pas sans rien faire. En 1759, alors que la France est frappée par une mortalité maternelle et infantile dramatique, le roi Louis XV lui confie une mission officielle : parcourir le pays et enseigner aux femmes - surtout dans les campagnes - l'art de l'accouchement. C'est une mission sans précédent. Elle...
Réponse à un article sur une sage-femme du 15ième qui par l'instruction aurait sauvé bien des femmes lors de leur accouchement
Je ne vois pas ce que cela change. Non !! L'accouchement n'est pas un jeu d'enfant. INSTRUTES OU NON, l'accouchement reste ET DEMEURE un risque ENORME totalement minoré actuellement par la médecine et le consensus. (pour ne pas décourager les bonnes volontés ?) ... un risque soit de MORT [à présent rare ms NON NÉGLIGEABLE dans les pays industrialisés ou riches depuis : 1 la notion de bactérie dites " ANIMALCULES VECTRICES " donc d'hygiène enfin reconnue des siècles -donc des mortes- après admise et suivie par les médecins lesquels au départ s'en moquaient -et ne se lavaient même pas les mains d'une parturiente à l'autre!- .. bien que la notion date.. de Gui de Chauliac ! médecin du pape au 12 IÈME SIÈCLE , lequel par un coup de génie d'observation l'avait intuitionnée, sans aucune preuve -pas de microscopes alors- !! et 2 : la PÉNICILLINE découverte par hasard par Fleming le bordélique (!) -qui à la base n'était pas pa...
Je cherche un mot pour désigner l'acte qui consiste à obliger quelqu'un à DEVENIR un.e autre pour exister, a l'opposé de son personnage réel
Une question amies psy ou papsy. Je cherche un mot pour définir une forme de maltraitance gravissime, MUTILANTE et rarement pointée pourtant. Comment appeler l'acte D'UN.E VICTIMEUR.E QUI FORCE, (Y COMPRIS GENTIMENT, EN APPARENCE) UNE VICTIME (EN PPE UN JEUNE) À ENDOSSER UN PERSONNAGE DE CONVENANCE POUR LUI (CAD POUR SE VALORISER OU SE SENTIR MOINS DÉVALORISÉ) ... VICTIME QUI EST OBLIGÉE DE L'ACCEPTER (Y COMPRIS SI LE RÔLE EST À L'OPPOSÉ DE SA VRAIE NATURE) pour recueillir quelques miettes mendiées d'une estime (ou amour ou juste vision) autrement refusé? Exemple : mon père.. qd je "montai" à Paris pour qques jours de voyage qui me demanda d'aller voir Linette, sa sœur préférée je pense (snob et peu sympa que je connaissais à peine).. ce que je fis, sans enthousiasme, et qui fort poliment mais nettement ! refusa sec tout contact (à part un inévitable thé de ~ 10 minutes certes ds de la porcelaine de Saxe ! et " ce sera tout ma petite, j'ai m...
Pourquoi faire des mathématiques ? Genial !!
Bordel de merde !! Je l'ai toujours pensé .. sans oser le dire (ma mère était matheuse et assez peu tolérante envers quiconque levait museau hors du saint cénacle )* !!!! Ms qu'est-ce que je kiffe de voir qu'un polytechnicien si si !! dise la m chose !!!! * j'ai tjrs été dévalorisée stt par mon père ms aussi par Lydie.. (pas par Marguerite ni Josée, mes chéries, gd mère et tante) puis l'école m'a sauvée (voilà pourquoi je déteste les critiques à ce sujet -note, j'ai 77 ans et ça a peut-être changé-) en primaite puis en partie au lycée stt en terminale (en ppe j'etais 1ère en philo) puis en fac qd je réussis à faire accepter à Lydie -à l'arrache, au péril de ma vie, une miraculeuse hépatite m'a sauvée, l'école normale m'a enfin lâchée et mes parents ont été obligés de me "reprendre"-) de faire des études de philo. ----------------------------- Pourquoi faire des mathématiques ? Parce que les mathématiques, ça sert à faire de...