Reponse à Nicolas. Anecdote du vieux beau bourge dici kiminvite aux 3 barbus et devant mon hésitation rétorqué ÇA NE VOUS ENGAGERA A RIEN




Exactement.  Même la notion de liberté est plus qu'ambiguë : souvent redondante, elle suppose inéluctablement son inverse, ce qui joue à contre sens. Qd on lit devant une boutique un écriteau annonçant glorieusement "free", on se demande si on doit remercier le tenant de sa longanimité. Ça me rappelle autrefois ce brave type de vieux beau gros bourge d'ici, version vieux hon bien disant, relativement cultivé, (angliciste) genre famille qui a son siège au temple, (et mélomane) bref l'archétype du mec enviable (kilcroyait, en fait peu éblouissant intellectuellement) dont j'avais accepté la société (genre premiers essais discrets de zoom) juste parce qu'il m'avait dit être atteint d'un cancer mortel et opéré sous peu, tentative lourde et sans garantie (voir la suite, littéralement désopilante -et vraie, j'en ris encore - pas de suspense, ami.es, il s'en est sorti-).. qui m'invite à dîner au Ritz mode Alès, je refuse gentiment, (c'est trop cher laissai-je entendre en sous impression) ...  et qui me rétorque noblement, suave "mais ça ne vous ENGAGERA à rien !! Absolument!" 

Malaise. (Par ailleurs pas trop au courant du prix des passes le gus, tout de même bcp plus!!) 

Si vous voulez la suite c'est tout à l'h les chiens ont fait kk partout (pluie je n'ai pas pu les sortir) je dois nettoyer..

 à mourir de rire à croire qu'un bon génie veillait à lui faire ravaler sa stupide morgue.. de ce repas il se souviendra toute sa vie. 

Réponse à Nicolas et à Corinne.


Mais même la notion de liberté est plus qu'ambiguë : souvent redondante, elle suppose  son inverse naturel, ce qui est à contre sens. . Qd on lit devant une boutique une annonce glorieuse "free", on se demande si on doit remercier le tenant de sa longanimité.


Ça me rappelle autrefois ce brave type de gros bourge d'ici, version vieux con bien disant, relativement cultivé, (angliciste) genre famille qui a son siège au temple, (et mélomane) bref l'archétype du mec enviable (kilcroyait, en fait peu éblouissant intellectuellement) dont j'avais accepté la société (genre premiers essais discrets de zoomage) simplement parce qu'il m'avait dit être atteint d'un cancer mortel et opéré sous peu, tentative lourde et sans garantie (voir la suite ici, désopilante -et vraie, j'en ris encore - pas de suspense, ami.es, il s'en est sorti-).. 

.. qui m'invite à dîner au Ritz (mode Alès), je refuse gentiment, (c'est trop cher laissai-je entendre en sous impression) ...  qui pour me convaincre me rétorque noblement, "mais ça ne vous ENGAGERA à rien !! Absolument!" 

Malaise !!!

La suite est à mourir de rire, à croire qu'un bon génie veillait à lui faire ravaler sa morgue.. Que fut ce repas dont il se souviendra toute sa vie, vous allez voir.            .      

                          Je récuse donc le Ritz-Ales ms accepte la soirée (de plus, dans le genre grossier puissance 2, il en rajoute, il veut un restau certes top ms surtout discret! parce que les gens.. bref, il est marié et pas encore divorcé alors vous comprenez.. ?

"Euh non je ne vomptenfs pas parce que je n'ai pas la moindre intention de" .. mais bon.. pour lui, c'était l'évidence. Nous voilà dans sa belle voiture où pour moi il a fait dit il installer un lecteur et mis Tosca .. en recherche. Rien ne lui convient, il veut du chic, moi, du pauvre mais soudain une idée me vient, ce petit boui boui qui ne paie pas de mine ds la campagne vers Boisdoret, tout près, excellent et bon marché... on y était allé avec Erdal, (voir Noces kurdes, une brève relation, de 25 ans plus jeune que moil) un restaurant d'ouvriers, comme lui. 

Là, une parenthèse s'impose : nous venions de "rompre" de mon fait en raison entre autres de sa jalousie maladive et il acceptait très très mal le licenciement sec: harcèlement, menaces de tuer quiconque s'approcherait de moi (pas moi, "il m'aimait malgré mes turpitudes") des menaces à ne pas négliger étant donné le passé du gugus* 

.. bref je convainc mon angliciste qui "pour moi" aurait voulu mieux. Disons qu' il consent du bout des lèvres. (Enfin pour être discret, je lui assure que ça l'est, et les habitués ne sont pas ceux de sa cour de récré c'est sûr). 

Et soudain, sur la route, à quelque 200 ? mètres de la terrasse du petit resto qu'on distingue à peine de loin .. je vois Erdal à pied..  Il se retourne (la voiture est large et voyante, la musique sonne, et la route est étroite) et regarde stupéfait.. l'horreur ... je n'ose rien dire et l'angliciste inconscient du danger se gare sans de presser. .. nous sortons. Pulsations à 130 je rentre précipitamment, espérant qu'il me suivra. Non. Il préfère la terrasse, certes bordée de pots de bambous épais mais... il fait une cible absolument parfaite. Rien à faire. Dedans c'est enfumé sûrement et son cancer.. Ok. Il s'installe gentiment dos à la haie, souriant disert et me présente en gentleman ma chaise en face. Je n'ai plus la force de réagir. Je ne pense qu'à une chose : Erdal nous a t il vus ? M'a-t-il reconnue ? Et a t il vu où nous nous sommes garés, installés? Peut-être, peut-être pas. Ça fait comme un virage.. et il fait un peu sombre.. Daniel, appelons le ainsi, s'aperçoit enfin de quelque chose. Ma tête. --- ça va ? --- Oui.. " On commande. Rien ne se passe. Je songe. S'il nous avait vu Erdal se serait déjà.. au moins manifesté.. peut-être aurait bousillé la voiture ds le meilleur des cas.. ou bien il est rentré chez lui pour se munir..  c'est un sportif sur entrainé. Soudain un éclat de rire me prend, incoercible lorsque Daniel tout sucre, profère : "Vous aviez raison ma chère, ici on est plus tranquille finalement.. au RitzAles, c'est trop encombré souvent .. mais enfin la clientèle est plus..   mais ce canard est délicieux" je ris ris ris... plus tranquille, le hon ! lui dirais je ? Il le faut à  présent, je lui explique carrément (après tout c'est un rustre arrogant et un miso grossier) ..

... qu'il est assis au dos des bambous possiblement contre un gus derrière que nous venons de doubler il y a quelques minute et qui promet et rêve de "descendre quiconque m'approcherait" .. en espérant qu'il n'a rien vu. Daniel dois je dire, a assez bien réagi, du moins en apparence. Genre je ne vais pas me laisser intimider moi Daniel Fontange fils de Jacques le brasseur bien connu et du charcutier Demange  etc .. par un petit con de kurde, fut-il ex guérillero et tireur d'élite.. tout de même ! J'avoue l'avoir admiré, presque. Mais il a tout de même mangé assez vite. Moi, j'ai peaufiné ma rétorsion et pris un dessert, plus un café sans me presser..  il ne m'a plus jamais recontactée.

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