Écoeurée de tout, j’en appelle à la douce mort: Voir le mérite, le talent, écrasés de mépris Qui mendient, et paré d'honneur le fier nul établi Sordide, de son indignité, fortifié à corps!      La générosité emprise avec l'enfance   

 

Et au vice dévoreur les lauriers offerts           La rapacité faite vertu, devenue l'éclair


La force, la perspicacité, faites impotence

Et devant l'autorité tyranne, l'art abimé

La docte folie jouant l'émérite sagesse

Et de folie pure la vérité, sans cesse

Vilipendées d'infinis barrages




Le bien par le mal réduit en servage :

Lassée de tout, je n'attends rien, ni linceul,

Même pas de litière, d'ex voto, de lit fleuri

Seule en terre comme ds la vie, toujours..

Mais si je meurs que mon amour reste seul,

De ces mots infinis pour éternel parage

Saignant écho de ces si tristes jours...



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