Le livre de ma mère Albert Coheb
Euh quelque poncifs en attendant que la pâtée cuise. [Perdu carte 2 fois de suite (ça doit vouloir dire quelque chose - je sais quoi - donc 7 € pour finir la semaine], C'est intéressant vraiment j'aime bien. Je me sens libre.. bon... des poncifs en salve serrée de diarrhéique qui a mangé des pruneaux oui ... mais bon, c'est comme une serviette sale ou déchirée, ça peut toujours servir en cas d'urgence, d'inondations ... de tremblement de terre ou si Poutine se décide à nous chier dessus (je le trouve patient le botoxé) on séjamé..
"Fils des mères encore vivantes, n’oubliez plus qu'elles sont mortelles. Je n’aurai pas écrit en vain, si l’un de vous, après avoir lu mon chant de mort est mieux avec sa mère, un soir, grâce à moi et à ma mère. Soyez chaque jour avec votre mère. Aimez-la mieux que je n’ai su aimer la mienne. Que chaque jour vous lui apportiez une joie, juste en la voyant c’est ce que je vous dis du droit de mon regret, gravement du haut de mon deuil. Ces paroles que je vous adresse, fils des mères encore vivantes, sont les seules condoléances qu’à moi-même je puisse m’offrir. Pendant qu’il est temps, fils, pendant qu’elle est encore là, hâtez-vous, car bientôt l’immobilité sera sur sa face imperceptiblement souriante"
Albert Cohen, Le Livre de ma mère."
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