Réponse à Robert
À jamais voudrais m'éteindre.
Car les jours sans toi sont des nuits sans flambeau.
J'ai réouvert mes bras qui ne pouvaient t'atteindre,
Il n'y avait rien au creux de ce noyau
Et frapper à ton coeur, c'est frapper au tombeau.
N'apprenons qu'à mourir à nous-mêmes.
Ne te demande pas si jamais je l'aimais !
Trop ou pas assez..
Et au fond de ton absence lire que tu m'aimes,
C'est contempler le ciel sans jamais y monter.
Je te crains ; j'ai peur de ma mémoire ;
Qui a gardé ta voix qui m'effraie très souvent.
Ne montre pas l'eau claire à qui ne peut boire.
Une pauvre écriture est un essai pendant.
Ne me dis pas ce que je n'ose plus lire :
Il semble que ta voix jette sur mon coeur ;
Et que je vois brûler à travers ton sourire ;
Et tes mots, un passé agoni de cruelles rancœurs
Car les jours sans toi sont des nuits sans flambeau.
J'ai réouvert mes bras qui ne pouvaient t'atteindre,
Il n'y avait rien au creux de ce noyau
Et frapper à ton coeur, c'est frapper au tombeau.
N'apprenons qu'à mourir à nous-mêmes.
Ne te demande pas si jamais je l'aimais !
Trop ou pas assez..
Et au fond de ton absence lire que tu m'aimes,
C'est contempler le ciel sans jamais y monter.
Je te crains ; j'ai peur de ma mémoire ;
Qui a gardé ta voix qui m'effraie très souvent.
Ne montre pas l'eau claire à qui ne peut boire.
Une pauvre écriture est un essai pendant.
Ne me dis pas ce que je n'ose plus lire :
Il semble que ta voix jette sur mon coeur ;
Et que je vois brûler à travers ton sourire ;
Et tes mots, un passé agoni de cruelles rancœurs
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