L'adieu aux armes

Tu n'as pas ressenti ni VU ma souffrance 
30 ans "l'année prochaine à Jérusalem"
Puis Margot est partie, définitives vacances 
C'était trop tard.. trente ans, c'est vite la fin

On t'avait dit que tu étais le roi du Liban
Ou juste de Beyrouth, forcément tu l'as cru
Et au fond de toi, la bête tapie toujours attend,
Explose: nul ne méritait un roi tout-puissant
Par un cercle courtisan ainsi promu
Et à force c'était peut-être vrai..

Ce qu'on pense devient réel, les quanta..
A la base, la pensée crée et crée sans fin
Même pas ton grand amour tu te te souviens ?
Une femme si inouïe, je ne te méritais pas.

Goy en plus, le fond du pot à jeter, une rien, 
Trente ans. Partie je t'ai gâché la vie
 Il te manquait un ou deux chiens à botter*
Et aimer, dur de botter dans le vide infini
On tombe. Et moi une Lydie à mes côtés Demeurer vivante de justesse par mon cri
Au bord du balcon accrochée, la mort, 
Un retentir qui en moi sonne encore.
 JE NE VEUX PAS MOURIR 
 
(*Et Cathy la lisse tu ne l'aime pas assez.)





  

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

La détresse paie bien. Arnaques sur des groupes FB d'aides aux victimes du va%xi&

(1) L'enfer et le machisme ds un village occitan de carte postale

La rue Jean Larrivé