Réponse de Marie au post précédent ( le vieillisme)

 

RÉCAPITULATIF 

Le vieillisme agressif. Hier une jeune femme 'amie'.. parlant d'un client âgé dont un parent est décédé ce qui affecte beaucoup le vieil homme.

--- Oh et puis zut, il avait 73 ans quand même, quand c'est des jeunes, d'accord mais là... yapadequoi en faire tout un flan".. (Elle s'adresse.. à moi !!!) 

--- j'ai 75 ans et pas en vie de mourir !"

Le pb est là. Les vieux sommes superfétatoires, on nous le fait bien sentir. Et c'est normal en période de pollution cata (voir en Inde) de pénurie de matière, de guerres menaçantes : les jeunes détestent ceux qui ont atteint apparemment sans dommage un âge que eux n'atteindront ss dte jamais ... par notre faute, plus ou moins. La haine des générations je la ressens de plein fouet voir mon post précédent. Tous nous disent implicitement DÉGAGEZ YA PLUS RIEN POUR VOUS (d'autant plus navrant et expliquable ! parce que bcp sont analphabètes.)

Le pb est que les jeunes ont atteint parfois un tel niveau d 'inculture qu'ils ne la mesurent pas ni pour eux ni pour les autres, d'où pour eux un vieux est à dégager car il prend de la place, mange, respire..  quand nous, les plus de 60, avions conscience qu'un ancien pouvait nous apprendre et désirions l'écouter .. et qu'un mort c'était une bibliothèque qui disparaissait. Pour eux, un mort c'est de la bouffe en plus.

Marie ---- Oui. Invraisemblable comme toute mort qui survient après 60 ans passe quasi inaperçue, ce serait " dans l’ordre des choses " ! Avant 60, les gens tiquent un peu, à peine, mais après 60... c'est un gouffre. D’où vient-il que l’empathie et les sentiments humains aient rétréci à ce point, globalement, parmi la population générale ?! 

Je vois là le résultat d’un travail de sape insidieux mais réel entrepris depuis plusieurs décennies par des politiques crapuleux mais aussi des scientifiques -- on pense tout de suite à certains dans l’entourage de f.mitterrand comme j.attali le damné, mais il y en a toute une liste en réalité, mitt. n’ayant véritablement JAMAIS rompu avec l’extrême droite de ses jeunes années (la gauche n’aura été pour lui qu’un marchepied). À ce que j’ai traversé, observé, vu et ressenti en particulier ces 20 dernières années, c'est même une sorte de ’mouvement’, en particulier dans le secteur médical : des individus qui ne veulent plus payer d’impôts ni aucune contribution à l’État. J’en ai connus, des toubibs comme ça et même des vétos, des sans-âme, des misérables, des néo nazis... De ceux qui ’travaillent’ sur la génétique, la biologie moléculaire et les implants cérébraux (on dirait qu’on parle d’une foire au jambon et à la ferraille mais il y a une cohérence, même si elle ne saute pas aux yeux). Ces gens me semblent vraiment dangereux mais problème : ils ont le pouvoir. Rien d'évident de les signaler, et surtout de rassembler des preuves de leurs agissements. Et ils/elles sont associé.e.s à des mafieux. J’ai connu un médecin qui commençait à secouer le Conseil de l'ordre départemental -- ce fut sans suite : on l’a retrouvé pendu, le rez-de-chaussée de son pavillon incendié (en 2013). Déclaré << suicidé >> ! Inouï. C'est tellement énorme... perso j’aurai mis vingt ans à envisager cette réalité impensable -- les trafiquants autour de mes parents étant en partie impliqués. C'est nébuleux et monstrueux tout à la fois. Difficile à ’penser’. Tellement contre-nature quelque part (l’âpreté au gain jusqu'au crime de masse), tellement impensable... Presque impossible d'échanger avec des gens sérieux à ce sujet -- soit on se retrouve avec "des platistes" (je veux dire : des complotistes aux idées courtes, qui savent déjà tout mais rien en réalité), soit... on est face au mur de "l’incrédulité". Évidemment, aucun esprit sensé ne peut concevoir un tel << projet >>. Évidemment. Pourtant, il faudrait investiguer et mettre bout à bout les éléments dont on dispose déjà.

Ceci dit, je remarque qu’un certain nombre de médecins parmi ceux que j'ai rencontrés depuis 10-15 ans ne "nient pas" << qu'il y a quelque chose >> mais n’ont absolument pas envie de voir surgir des tueurs dans leur cabinet ou à leur domicile. Évidemment. 

Alors qu'il est "si facile" de se laisser vivre sans se poser watt-mille questions --- les cibles prioritaires des néo nazes étant d'abord les " cas sociaux ", les handicapés (mentaux, surtout) et les obèses... "Suffit de ne pas être dans la mauvaise case", dixit l’un de ces ’sachants' qui ricanait jaune mais ricanait quand même. Invraisemblable, inouï.

---- Oui. Une "évacuation" drastique des affects sans doute reliée à l'éducation ou plutôt au DÉFAUT d'éducation* (quasi analphabétisme et/ ou obsession de survie) : englués dans un monde dessiné par un vocabulaire limité et fautif où on parle d'humains (ou d'animaux) comme de choses, et de choses comme d'humains ("un chien", un homme ou mieux, une femme "de casse" et une robe "sympa"). On a ainsi créé des êtres qui parlent par syntagmes ou onomatopées (wouahhhh,Yahooo) et n'ont plus accès au logos voire même éprouvent pour celui-ci un rejet viscéral, d'où l'égoïsme sordide de l'être ainsi réduit à sa plus minable condition, jouir, bouffer, voler-tuer s'il faut, laisser périr voire massacrer ou pousser à, égoïsme à œillères stupide et pourtant "innocent", spontané, qu'ils croient glorieux et salvateur quand il les détruit eux-mêmes pour le profit de ceux qui les ont décérébrés.. Nul besoin d'armes.

* une inculture de pire en pire, même parmi les "filles ou fils de", on en vient à ne plus pouvoir communiquer.

Le vieillisme agressif. Hier une jeune femme 'amie'.. parlant d'un client âgé dont un parent est décédé ce qui affecte beaucoup le vieil homme.

--- Oh et puis zut, il avait 73 ans qd même, quand c'est des jeunes, d'accord mais là... yapadequoi en faire tout un flan".. (Elle s'adresse à moi !!!) 

--- j'ai 75 ans et pas en vie de mourir !"

Le pb est là. Nous les vieux, sommes superfétatoires, on nous le fait bien sentir. Et c'est normal en période de pollution cata (voir en Inde) de pénurie de matière, de guerres menaçantes : les jeunes détestent ceux qui ont atteint apparemment sans dommage un âge que eux n'atteindront ss dte jamais ... par notre faute, plus ou moins. La haine des générations je la ressens de plein fouet voir mon post précédent. Tous nous disent implicitement DÉGAGEZ YA PLUS RIEN POUR VOUS (d'autant plus navrant et expliquable ! parce que bcp sont analphabètes.)

Le pb est que les jeunes ont atteint parfois un tel niveau d 'inculture qu'ils ne la mesurent pas ni pour eux ni pour les autres, d'où pour eux un vieux est à dégager car il prend de la place, mange, respire..  quand nous, les plus de 60, avions conscience qu'un ancien pouvait nous apprendre et désirions l'écouter .. et qu'un mort c'était une bibliothèque qui disparaissait. Pour eux, un mort c'est de la bouffe en plus.

Marie ---- Oui. Invraisemblable comme toute mort qui survient après 60 ans passe quasi inaperçue, ce serait " dans l’ordre des choses " ! Avant 60, les gens tiquent un peu, à peine, mais après 60... c'est un gouffre. D’où vient-il que l’empathie et les sentiments humains aient rétréci à ce point, globalement, parmi la population générale ?! 

Je vois là le résultat d’un travail de sape insidieux mais réel entrepris depuis plusieurs décennies par des politiques crapuleux mais aussi des scientifiques -- on pense tout de suite à certains dans l’entourage de f.mitterrand comme j.attali le damné, mais il y en a toute une liste en réalité, mitt. n’ayant véritablement JAMAIS rompu avec l’extrême droite de ses jeunes années (la gauche n’aura été pour lui qu’un marchepied). À ce que j’ai traversé, observé, vu et ressenti en particulier ces 20 dernières années, c'est même une sorte de ’mouvement’, en particulier dans le secteur médical : des individus qui ne veulent plus payer d’impôts ni aucune contribution à l’État. J’en ai connus, des toubibs comme ça et même des vétos, des sans-âme, des misérables, des néo nazis... De ceux qui ’travaillent’ sur la génétique, la biologie moléculaire et les implants cérébraux (on dirait qu’on parle d’une foire au jambon et à la ferraille mais il y a une cohérence, même si elle ne saute pas aux yeux). Ces gens me semblent vraiment dangereux mais problème : ils ont le pouvoir. Rien d'évident de les signaler, et surtout de rassembler des preuves de leurs agissements. Et ils/elles sont associé.e.s à des mafieux. J’ai connu un médecin qui commençait à secouer le Conseil de l'ordre départemental -- ce fut sans suite : on l’a retrouvé pendu, le rez-de-chaussée de son pavillon incendié (en 2013). Déclaré << suicidé >> ! Inouï. C'est tellement énorme... perso j’aurai mis vingt ans à envisager cette réalité impensable -- les trafiquants autour de mes parents étant en partie impliqués. C'est nébuleux et monstrueux tout à la fois. Difficile à ’penser’. Tellement contre-nature quelque part (l’âpreté au gain jusqu'au crime de masse), tellement impensable... Presque impossible d'échanger avec des gens sérieux à ce sujet -- soit on se retrouve avec "des platistes" (je veux dire : des complotistes aux idées courtes, qui savent déjà tout mais rien en réalité), soit... on est face au mur de "l’incrédulité". Évidemment, aucun esprit sensé ne peut concevoir un tel << projet >>. Évidemment. Pourtant, il faudrait investiguer et mettre bout à bout les éléments dont on dispose déjà.

Ceci dit, je remarque qu’un certain nombre de médecins parmi ceux que j'ai rencontrés depuis 10-15 ans ne "nient pas" << qu'il y a quelque chose >> mais n’ont absolument pas envie de voir surgir des tueurs dans leur cabinet ou à leur domicile. Évidemment. 

Alors qu'il est "si facile" de se laisser vivre sans se poser watt-mille questions --- les cibles prioritaires des néo nazes étant d'abord les " cas sociaux ", les handicapés (mentaux, surtout) et les obèses... "Suffit de ne pas être dans la mauvaise case", dixit l’un de ces ’sachants' qui ricanait jaune mais ricanait quand même. Invraisemblable, inouï.

---- Oui. Une "évacuation" drastique des affects sans doute reliée à l'éducation ou plutôt au DÉFAUT d'éducation* (quasi analphabétisme et/ ou obsession de survie) : englués dans un monde dessiné par un vocabulaire limité et fautif où on parle d'humains (ou d'animaux) comme de choses, et de choses comme d'humains ("un chien", un homme ou mieux, une femme "de casse" et une robe "sympa"). On a ainsi créé des êtres qui parlent par syntagmes ou onomatopées (wouahhhh,Yahooo) et n'ont plus accès au logos voire même éprouvent pour celui-ci un rejet viscéral, d'où l'égoïsme sordide de l'être ainsi réduit à sa plus minable condition, jouir, bouffer, voler-tuer s'il faut, laisser périr voire massacrer ou pousser à, égoïsme à oeuillères stupide et pourtant "innocent", spontané, qu'ils croient glorieux et salvateur quand il les détruit eux-mêmes pour le profit de ceux qui les ont décérébrés.. Nul besoin d'armes.

* une inculture de pire en pire, même parmi les "filles ou fils de", on en vient à ne plus pouvoir communiquer.