Oui mais, qui nous dit que ce produit antipoison n'est pas un autre pouson ?

 Tout ça me rappelle "Lucrèce Borgia" la pièce de Hugo où Lucrèce veut sauver son fils qu'elle sait empoisonné avec un contre poison qu'elle seule connaît... qu'il hésite et je crois refuse de prendre car on l'a persuadé que c'était elle l'empoisoneuse.

Voici l’historique réel résumé à partir de l’interview de Karen Kingston lanceuse d’alerte américaine, analyste pharmaceutique, et ancienne employée de Pfizer, par Stew Peters journaliste d’investigation américain, où elle dévoile le plan diabolique de dépeuplement.

C’est la confirmation historique irréfutable que la protéine spike a été créée et brevetée en 2017. C’est une terrible arme biologique qui procure d’énormes profits à l’industrie pharmaceutique.

Question Stew Peters : Puisqu’il semble s’agir de la mise en place d’une arme biologique préparée avec préméditation par ceux qui détiennent le pouvoir, pourquoi l’ont-ils fait ? Et pourquoi cela s’est-il, produit en 2020 ? S’ils voulaient éliminer la population, pourquoi le faire avec des injections d’ARNm ? Quel était exactement ce grand projet ?

Réponse Karen Kingston (ex scientifique Pfizer) : J’ai identifié trois universitaires (dont les noms sont inconnus du public) qui ont joué un rôle central dans toute cette affaire, y compris le mobile crucial qui a tout déclenché.

Il faut d’abord savoir qu’en 2019, l’industrie pharmaceutique était pratiquement finie. Le chiffre d’affaires de PFIZER était d’environ 40 à 50 milliards de dollars, et les brevets de tous leurs produits avaient expiré. Or c’est là qu’est advenue la technologie de l’ARNm.

Le 22 octobre 2020, Pfizer et l’industrie pharmaceutique ont rencontré la FDA (Food and drogs administration) et ont décidé que l’ARNm serait à l’origine de nombreuses maladies auto-immunes et de cancers en phase terminale. Ceci leur permettrait alors de créer une nouvelle gamme de produits pour traiter toutes ces nouvelles maladies lourdes.

Le déploiement de ces armes biologiques entrainerait beaucoup de décès (pour créer la peur). Et Pfizer déclara que cela ne lui posait aucun problème. Même sur leur site Internet, ils ont expliqué que cette technologie ARNm peut entrainer la mort – Ceci n’étant qu’un risque calculé, le plus important était qu’elle crée des nouveaux marchés.

Le 23 février 2021, le New York Time a rapporté le gros paiement effectué aux trois gros promoteurs de la protéine spike, soit la somme de 400 millions de dollars pour financer son élaboration à partir de la séquence SRASS Cov ou à partir de l’ARNm des injections Cov 19.

Ce qui est choquant ce n’est pas les 400 millions de dollars que les trois promoteurs ont reçu, mais le fait qu’ils aient déposé le brevet de la protéine spike SP2 en 2017.

Pourquoi les gens déposent des brevets ? Pour pouvoir encaisser les énormes droits qu’ils génèrent.

Nous avons en outre appris que Pfizer détient un nouveau produit, le Vyadagel qui est sorti il y a deux ans. Il est censé traiter les myocardites justement conséquentes des protéines qui attaquent le cœur. Ils ont aussi le Myfembrie qui traite les saignements abondants (type Ebola) – ce produit a été approuvé en février 2021. Un autre produit qui s’appelle le Panzyga est censé traiter les inflammations de la moëlle épinière. En 2020 ils avaient donc déjà les produits pour traiter les dégâts des maladies induites par leur arme biologique qui est évidemment la protéine Spike.

VENINS ET TOXINES

Voici les propos du docteur Ardis concernant le venin de serpent. Les chercheurs de Philadelphie qui ont publié un article en 2021, ont prélevé 38 échantillons sur des patients atteints de maladies modérées à Lombardi en Italie, et 8 échantillons de personnes gravement malades décédées. En analysant les séquences, ils ont trouvé la protéine super antigènes spike chez les personnes décédées qui avaient du venin de serpent, de cobra, et avaient le virus de la rage – Ils ont également trouvé la glycoprotéine 120 du VIH. Ils ont déclaré que la maladie grave du covid ne ressemblait pas à une réponse immunitaire, ou à une infection que les enfants attrapent parfois à cause de la grippe, mais là c’était comme s’ils avaient été empoisonnés. Il s’agit donc bien d’un poison et d’une arme biologique. Il y a beaucoup de preuves et il est clair que cette arme ait été créée en 2017.

Ils ont ensuite dit aux fabricants américains, aux entreprises biotechnologiques et pharmaceutiques de créer des marchés entièrement nouveaux de plusieurs milliards de dollars pour des maladies rares jusqu’alors mais devant toucher non pas 1% de la population, mais les deux tiers de la population.

Les sociétés pharmaceutiques en accord avec notre ministre de la défense recréent des poisons synthétiques pour les utiliser comme toxines dans la protéine spike. Ces toxines, les venins de cobra et de la rage sont des antigènes qui provoquent une réponse inflammatoire. D’autres données montrent qu’elles s’attachent aux cellules T pour qu’elles s’attaquent elles-mêmes. Ils sont donc utilisés comme arme biologique par le ministère américain de la défense, précisément dans les produits pharmaceutiques. J’ai travaillé sur un produit appelé Tikosyn dérivé du venin de serpent.

L’immuno- génicité, c’est apprendre au corps humain
à se tuer lui-même.

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