L'emprise

 LE STRESS, LA SOUFFRANCE INFLIGÉE AGIT PARFOIS SUR NOUS COMME UNE DROGUE. Maso ? Pas du tout ! Explication :

Le stress infligé, humiliations, dénigrement,  désamour, s'il va jusqu'à l'emprise (et c'est la plupart des cas) nous fait revivre, ressasser les traumas du passé à l'infini, y compris qd ils ne sont plus que de lointains souvenirs, qd on s'est éloigné depuis longtemps : c'est comme s'ils existaient A JAMAIS en nous, comme si le ou la victimeur.e était tjrs présent.e (ou ses artefacts, ce qui revient au même). Or le résultat (biologiquement mesurable, cortisol en flèche etc.) identique à celui du trauma initial généré ds le passé (!) .. une réviviscence ! est là :  paradoxalement LA SEULE PERSONNE SUSCEPTIBLE DE NOUS SOIGNER, DE NOUS GUÉRIR, DE NOUS LIBÉRER DE CETTE SOUFFRANCE EST CELUI OU CELLE QUI NOUS L'A INFLIGÉE AUTREFOIS..  QUE L'ON RISQUE DE RECHERCHER ALORS, D'OÙ LE CERCLE VICIEUX QUI PERDURE : UN VORTEX ASPIRANT DANS LE GOUFFRE.. Et les réflexions habituelles en fait normales mais blessantes : tu l'as bien cherché !

------------------------

 LE STRESS, LA SOUFFRANCE INFLIGÉE AGIT PARFOIS SUR NOUS COMME UNE DROGUE. Maso ? Pas du tout ! Explication :

Le stress infligé, humiliations, dénigrement,  désamour, s'il va jusqu'à l'emprise (et c'est la plupart des cas) nous fait revivre, ressasser les traumas du passé à l'infini, y compris qd ils ne sont plus que de lointains souvenirs, qd on s'est éloigné depuis longtemps : c'est comme s'ils existaient A JAMAIS en nous, comme si le ou la victimeur.e était tjrs présent.e. (ou ses artefacts, ce qui revient au même). Or le résultat (biologiquement mesurable, cortisol en flèche etc.) identique à celui du trauma initial généré ds le passé (!) .. une réviviscence ! est là :  paradoxalement LA SEULE PERSONNE SUSCEPTIBLE DE NOUS SOIGNER, DE NOUS GUÉRIR, DE NOUS LIBÉRER DE CETTE SOUFFRANCE EST CELUI OU CELLE QUI NOUS L'A INFLIGÉE AUTREFOIS..  QUE L'ON RISQUE DE RECHERCHER ALORS, D'OÙ LE CERCLE VICIEUX QUI PERDURE : UN VORTEX ASPIRANT DANS LE GOUFFRE.. Et les réflexions habituelles en fait normales mais blessantes : tu l'as bien cherché !

------------------------

Autrefois aimante, irrédente enfant,
Demi vie écroulée tel le radium à présent
Organise et bade des vacances -vitrine
Avec son père et la douce Catherine 
Qui a chaussé les sabots de sa mère 
Yeuse cévenole de ses pieds trop petits,
Et mes petites filles d'un amour accessit
La vie est là, simple et amère 
De mes racines coupées ne me reste rien
Qu'une petite vie à finir droite et fière,
Digne de Lydie, la flamboyante idylle

Du passé. Avec mes chiens
Comme moi rescapés)
Sans plus jamais mendier l'amour labile
Qui m'a implosée 

 

 

 




 


Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

La détresse paie bien. Arnaques sur des groupes FB d'aides aux victimes du va%xi&

(1) L'enfer et le machisme ds un village occitan de carte postale

La rue Jean Larrivé