Théorie de l'évolution ? Versus intelligence de ?

 LA THÉORIE DE L'ÉVOLUTION NE SUFFIT PAS À EXPLIQUER NOTRE EXISTENCE

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La naissance de l'Homo Sapiens ne peut être un hasard. Les chances qu'une espèce comme la nôtre ait évolué par hasard, survivant parmi les prédateurs, les famines et les mutations chaotiques, sont infinitésimales. Les chiffres sont clairs : moins de 0,01 % des mutations aléatoires sont bénéfiques. 85 % des mutations génétiques sont neutres ou nuisibles. Et pour développer un seul protéine fonctionnelle utile, il faut en moyenne des centaines de tentatives.

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Penser qu'une séquence aussi parfaite que celle de notre cerveau s'est formée par pur hasard, c'est comme lancer des millions de lettres en l'air et s'attendre à ce qu'elles retombent pour former toute la Divine Comédie. Techniquement possible ? Oui. Probable ? Absolument pas.

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Et pourtant, en très peu de temps (quelques milliers de générations), l'Homo Sapiens est apparu avec un cerveau de 1400 cm³, un langage symbolique, l'art rupestre, la mémoire abstraite et la pensée consciente. Il n'est pas question ici de savoir si nous avons évolué. La question est tout autre : notre évolution a-t-elle été « aléatoire » ou « causale » ? Est-elle née d'une série de coïncidences aveugles ou d'un processus orienté, en quelque sorte guidé ?

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Lorsque l'on parle de hybridation génétique, beaucoup pensent à des scénarios violents ou de science-fiction, avec des laboratoires et des cobayes humains. Mais il existe une méthode beaucoup plus élégante, que nous utilisons nous-mêmes aujourd'hui en laboratoire : les virus comme vecteurs génétiques.

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Les rétrovirus insèrent du matériel génétique directement dans l'ADN des cellules. La thérapie génique moderne repose précisément sur ce principe : réparer ou modifier des gènes en transportant de nouvelles instructions par le biais de virus. Pas de scalpel, pas de laboratoire de science-fiction. Juste de la biochimie précise et efficace.

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Maintenant, demandons-nous : et si quelque chose ou quelqu'un, dans des temps très anciens, avait utilisé la même méthode pour « corriger » une branche humanoïde ? Et si l'Homo Sapiens était le produit d'une greffe sélective et intelligente, non visible comme un implant externe, mais codée dans le génome lui-même ?

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AVANT NOUS, IL Y AVAIT QUELQU'UN - Tome 1


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