A relire... ceci peut-être explique cela..

 

Analyse critique du texte 

"Selon le philosophe norvégien Peter Wessel Zapffe, l’être humain naît avec une conscience surdéveloppée

•pas trop d'accord..

qui ne s’intègre pas dans le cadre de la nature. 

•non.  C'est plutôt la culture qui ici est à l'oeuvre

Le désir humain de justification sur des sujets tels que la vie, la mort et le sens de l’existence ne peut jamais être pleinement satisfait, ce qui engendre un besoin que la vie elle-même ne peut combler. Selon cette théorie, les humains passent leur temps à essayer d’atténuer leur conscience pour échapper au poids de la réflexion existentielle. L’être humain est donc un paradoxe, car l’auto-réflexion est l’une des principales caractéristiques de la conscience humaine. L’angoisse de la mort occupe une place centrale dans cette réflexion : selon Zapffe, l’être humain est unique parmi les êtres vivants dans sa capacité à envisager sa propre disparition.  

• Bien sûr que non ! Les animaux ont consc de la mort et m de celle de leurs potes. Cf Tess dont la mort déclencha ds tte la montagne des hurlements désespérés des autres chiens. Ainsi que le lendemain à la m h ( minuit).

Dans *Le Dernier Messie* (1933), Zapffe décrit quatre mécanismes de défense principaux utilisés par l’humanité pour éviter d’affronter ce paradoxe :  

**I. L'Isolation**  un rejet totalement arbitraire de toute pensée et émotion troublante ou destructrice de la conscience »*.  

•mmm n'est ce pas ce qu'il fait (l'auteur) en assurant que seul l'humain a conscience de sa mort ?

**II. L’Ancrage** c'est « la fixation de repères ou la construction de murs autour du flot mouvant de la conscience ». Ce mécanisme donne aux individus une valeur ou un idéal sur lequel concentrer leur attention en permanence. 

Zapffe applique également ce principe à la société et affirme que *« Dieu, l’Église, l’État, la morale, le destin, les lois de la vie, le peuple, l’avenir »* sont autant d’exemples d’ancrages collectifs fondamentaux.  

**III. La Distraction** lorsque *« l’on limite son attention aux frontières critiques en la captivant sans cesse par des impressions »*. La distraction consiste à focaliser toute son énergie sur une tâche ou une idée pour empêcher l’esprit de se retourner contre lui-même.  

**IV. La Sublimation** , le détournement de l’énergie vers des formes d’expression positives, plutôt que négatives. L’individu prend du recul et perçoit son existence sous un angle esthétique (par exemple, les écrivains, poètes, peintres). Zapffe lui-même reconnaissait que ses œuvres résultaient de ce mécanisme de sublimation.