Autobiographie d'une intellectuelle... le corps n'oublie pas

 Autobiographie d'une intellectuelle issue de la classe ouvrière  extraits ( reprise du 2)


Le corps n'oublie pas. 

J'ai eu mal aux seins et du subir des moqueries désolantes car ma mère ne m'avait pas acheté un corsage approprié, souple (PEUT-ÊTRE  NE LE POUVAIT ELLE PAS NOUS ETIONS PAUVRES À FAIM) et sous le tissus costaud impitoyable de récup qui me serrait le buste, ils poussaient écrasés. Douloureux, très !!  (Cela demeure parfois encore sur le droit, qui a fait une mastite suite à un enorgement, 60 ans après !!! Le corps n'oublie pas.)

Puis j'ai porté la m jupe de la 6ième À LA TERMINALE !! PLISSÉE ! UN TISSU INUSABLE HÉLAS AVEC COUTURES ÉNORMES ET UN OURLET AD HOC... SI BIEN QUE SVT ON SE MOQUAIT DE MOI (LES PLIS NE TENAIENT PAS SUR CE TISSUS ÉPAIS, EN PLUS AVEC L' OURLET.. SI BIEN QUE J'AVAIS L'AIR D'UN ABAT JOUR.) Depuis je fais une fixette sur les fringues ... et les couvertures. Pas sur le reste. J'ai 20 ou 30 tenues toutes dd récup ms vintagées, j'adore coudre ça me détend +++,  je porte rarement la même et j'invente des modes, je me régale (et suis parfois suivie !!) Ms ça m'envahit.

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