Le distilbene. Et les vax. Réponse à Marie suite de "qui nous dit que le contre poison (du spike) n'est pas un poison ?

Il aurait fallu ne pas prendre le poison dis tu

Bien sûr ms pour les pauvres couillons qui l'ont déja pris !! On ne peut pas leur en vouloir sauf si comme Azerty on a exigé de Qwerty (une amie à moi) de ne plus me fréquenter parce que je risquais de la contaminer.. soit repondit la brave...  oui mais elle de la contaminer elle aussi... d'où la pauvre qwerty s'est exécutée sottement... au point de filer des qu'elle apercevait l'ombre de lon chien !! précision (car nous sommes chez les zoulous cad les pov'cons où on expérimente les trucs douteux, à dose de cheval, euh non, de plouc, après le dilbestrol prescrit en masse juste avant son interdiction, yavédestocks à liquider*, on a le machinkipik) bref, Azerty est quasi "perdue" comme disent les toubibs (épilepsie, tumeur, cerveau en bouillie, opération ratée ou plus ou moins ratée, il faut s'y reprendre à la limite mettre un ouvre boîte, bref elle voit des papillons géants dans la vigère, squelette ambulant) et pour Qwerty (kinajamébunifuménibésé) opération du foie, un comblé, 6 h de boulot pour tout bien nettoyer y compris ds l'intestin, bravo les chir!! du coup, 15 kg de viande en moins après ça, ça allège, sauvée dit elle, ventre plat certes  ms pacomavant je dirais même pacomavantdutout. 

* sur ce point les victimes seraient complètement ignorées, si ce n'était des femmes dont certaines biologistes (une chercheur au cnrs crois-je me souvenir) elles-mêmes victimes par ricochet (car c'étaient leurs enfants qui étaient atteints, et pour celle ci, très gravement, suicides) ainsi que pour notre héroïne régionale Sylvie Barbe (fille également suicidée à 17 ans)... n'avaient lancé l'alerte sur blog, bouquins etc..  

Or les dégâts sont actuels et peu pensent à ce poison instillé à leur mère 17 ans auparavant voire bien plus. Il se trouve que Sophie, la fille de Maria, (l'héroïne de mon article, voir "L'enfance de Sarah") a été abreuvée in utéro par cette saloperie, sa mère s'étant moquée de moi lorsque je lui avais parlé du risque (notons qu'à ce moment là IL ETAIT CONNU ET ARCHI CONNU DE TOUS PUISQUE LE DISTILBÈNE ETAIT INTERDIT ET CE DEPUIS LONGTEMPS À PEU PRÈS PARTOUT) mode "jyédia'roussel'éilabienri"  !! Il m'a recommandé de ne pas écouter les bonnes femmes, car lui ne voulait kedébobébés, ça rassure quand même etc .. (!) 

Bref, la crise épouvantable de la petite à 18 ans  après son investissement en force de ma maison, délirante (niant la mort de mes parents, assurant qu'elle était chez EUX et non chez moi" puis téléphonant à mon mari pour se plaindre ... après m'avoir accusée .. d'inceste etc.. ") j'avais incriminé la coke - à la fac c'était courant stt ds sa section, art plastiques- mais après coup je me suis interrogée sur le dilbestrol quand je me suis remémoré les recherches actuelles sur la molécule, (puis les propos de Sylvie), qui, chose imprévue, touche aussi les garçons (on pensait que seules les filles étaient atteintes) et surtout la génération d'après. Voir en mon nom distilbène sur google.