Les non-amis (pas tout à fait faux amis)

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Hé hé ça me rappelle...  1 Lydie .. ma mère, qui allait jusqu'à m' "interdire" TOUT CE POUR QUOI JE SEMBLAIS "DOUÉE" (ex le chant*") voire carrément d'étudier (la philosophie notamment) mais n'aurait pas SUPPORTÉ QUE JE SOIS SCOLAIREMENT EN ÉCHEC (ouen traîne de peloton!) ! m'imposant d'être "ds les 4 premières" ms stt JAMAIS  1ÈRE !! ce qui eût été  inacceptablement prétentieux.

2 R. Qui fit de même, ne supportant pas que je ou nous revinssions ds ma région (Anduze par exemple) malgré ses promesses de toujours (!) région où j'eusse bcp plus facilement "réussi" professionnellement, (une réussiye naturelle) et lui avec !!**...  tout en ne m'ayant JAMAIS AIDÉE (RÉELLEMENT) À  PARIS où au départ je me morfondais tristement, loin de Marguerite. **

* le chant (soprane) et la musique en général car passionnée de piano. Un Interdit VIOLENT. Paradoxe, tant que ma réussite potentielle n'apparut pas, avant 8 ans, la musique ne me fut pas interdite, voire mieux, favorisée.. mais alors Lydie m'imposa l'accordéon, qui me ruinait le dos et que je détestais! Le piano (comme le chant) demeurant un tabou absolu. Et, autre bizarrerie, la danse classique non plus ne me fut pas interdite, ms je compris ensuite que c'était ss dte parce que JE N'AVAIS AUCUNE CHANCE D'Y RÉUSSIR (ce dont honnêtement l'avaient avertie mes profs) car, bien que mince de nature, j'étais tout de même bcp trop charpentée, tête et corps, donc forcement trop lourde pour qu' un danseur me PORTE!!

** bien que, à Paris, son statut professionnel fût assez élevé, il n'a, non seulement jamais cherché à me faciliter une embauche alors même que ds sa boite ils étaient A LA RECHERCHE D'UNE SOCIOLOGUE et que je venais juste d'avoir mon DEA (!) .. embauche pour laquelle, par contre, pour un vague cousin, il n'eût aucun scrupule à intervenir ! et, pire encore, il me cacha cette recherche, ceci alors que je ramais ramais, désespérée, pour trouver un travail si possible de le midi. Et qd enfin, incroyable coup de pot ! après moultes recherches, j'en trouvais un pour lui et donc pour moi, inespéré ! à Ales , tout à fait exceptionnel, (cadre sup top niveau -il est trilingue dont couramment arabisant- à l'..) il refusa sous tous les prétextes les plus farfelus de mauvaise foi. Ainsi fus-je réduite, épuisée, à 2 h de périf 4 fois par semaines avec deux enfants en bas âge..  et à partir dès les vacances scolaires avec eux ds mon bled pour me reposer chez mes parents et ds ma famille (mes parents qui se montrèrent d'aussi excellents gd parents qu'ils furent des parents ... disons discutables!) ce qu'il me reprocha ensuite..

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Autre cas, plus dur en un sens !

SOS les amies, Emilie, Marie, Marie, Chantal, Chantalbrule-robardey Robardey, Jeanine, Jean,  avez-vous connu ça ? Etre aux PRISES (le terme est intentionnel) avec des AMIS, de vrais amis (?) ... qui, bien qu'en apparence sincères, dévoués, voire même admiratifs, ne font en fait RIEN pour vous aider réellement, quelque soit votre marasme évident auquel ils semblent compâtir. 

Exemple, pardon Huguette ! Pardon Michel ! ils vous invitent à volonté, gentiment, thé et biscuits, un plaisir du moment (?) vous lisent, vous écoutent, (" 'Quel courage... quel talent...  'Vu du néant' est un chef-d'oeuvre .. tu as raison il te faut voir Piera Gallimare. Elle n'a pas donné suite ? Ça alors ! Sans doute n'a-t-elle même pas eu le temps de lire, en ce moment avec le Feminus, (note que "Bris du soi" n'a rien de mirobolant) elle n'arrête pas, du reste je la vois peu même si elle vient de temps en temps..") 

Et de me prêter un livre "qui te plaira" AVEC, COMME MARQUE PAGE, DATÉE DE LA SEMAINE, UNE JOLIE CARTE POSTALE  SUR LAQUELLE, JE LIS : "Chère Huguette, je viens ce jeudi et si tu as le temps, nous pourrions  déjeuner comme d'habitude au Riche.. touchée par ton article sur Pierre Rabot, un type à suivre, tu as raison, futur prix Confleur, à voir avec Seuil. Je t'embrasse. Alès et ton cher Chabrol me manquent."